Les activités Défense du groupe Thales sont allègrement portées par les conflits dans le monde, notamment en Ukraine. D’autre part le 15 mai, seront présentés en Comité Européen, les détails d’un plan visant à supprimer 1 300 emplois dans les activités spatiales de Thales. Ce même jour se tiendra l’assemblée générale des actionnaires.
Chouchouter les actionnaires et les dirigeants du Groupe …
Lors de cette assemblée générale, les actionnaires auront à se prononcer, entre autres, sur les résolutions suivantes :
- Résolution 3 : Augmentation de +15,6% des dividendes versés aux actionnaires (3,40 € en 2023, 2,94€ en 2022)
- Résolution 10 : Le PDG recevra les éléments fixes, variables et exceptionnels composant sa rémunération assortie de tous les bonus possibles au regard de l’atteinte, réputée réalisée, de l’ensemble de ses objectifs alors que les salariés se voient contraints par une nouvelle politique de rémunération variable 2024
- Résolution 11 : Doublement de la rémunération des membres du conseil d’administration de Thales (l’enveloppe annuelle de la rémunération des administrateurs passe de 600 000 euros à 1,2 millions d’€)
- Résolution 12 : Autorisation pour un potentiel nouveau plan de rachat d’actions à un prix maximum de 190€/action et pour un plafond total de près de 4Mrds d’€ avec entre autre la possibilité d’annulation de tout ou partie des actions ainsi rachetées… Oui oui, vous avez bien lu, presque 4 milliards !
Ne pas investir suffisamment pour préserver la planète…
Thales se gargarise de ses performances en RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) mais il faudrait investir plus :
- Dans la stratégie de remplacement de produit dangereux (PFAS, Chrome Hexavalent, …) présent dans nos produits, Thales privilégie les stratégies de contournement (obtention de dérogation) plutôt que d’investir dans la construction de solutions alternatives durables. La dérogation, c’est moins cher.
- Les bilans carbones sont évalués sur une toute petite partie des émissions dont nous sommes responsables. C’est mieux que rien, mais le gros (environs 80%) reste hors scope. Ce sont les émissions liées à nos opérations ou à notre politique achat, cela impacterait notre façon de produire. Trop cher !
- Indemniser les véhicules électriques au moins au niveau préconisé par l’URSSAF ? Trop cher !
- Négocier de véritables accords de mobilité douce et indemniser les trajets en vélo. Trop cher !
- Négocier un accord RSE : Inutile !
Et s’acharner sur les salariés…
Dans le même temps, la direction trouve que le « dialogue social », que nos accords, que la politique salariale, que notre socle social coute trop cher. Elle s’attaque à tous nos droits et réduit les budgets liés à chacun des accords :
- En s’acharnant sur les plus faibles : volonté de baisser le budget pour l’inclusion des travailleurs en situation de handicap, volonté de suppression des mesures de protection de ces salariés, restriction de la notion de proches aidants, le coût serait trop élevé !
- En ajoutant la méfiance envers celles et ceux qui font la richesse de notre Groupe, en voulant limiter le télétravail afin de remettre les salariés au « travail » et éludant le coût des indemnités déjà très basses.
- En voulant, soi-disant, « motiver » les salariés avec un nouveau plan qui conditionne encore plus le versement de la rémunération variable à l’atteinte d’objectifs de rentabilité toujours plus élevés et déconnectés de la réalité. Les efforts de solidarité qui consistaient à négocier les accords au niveau Groupe pour une application équitable sont anéantis par cette nouvelle formule de calcul de la rémunération variable qui consiste à punir et opposer les GBU qui sont en difficulté. De plus, les salariés n’ont aucun levier sur les nouvelles conditions imposées par la Direction.
- En constatant que les NAO aboutissent à des mesures loin des besoins légitimes des salariés : sur 3 ans les augmentations de salaire ne couvrent pas l’inflation
- En ne respectant pas l’obligation de négocier sur les bénéfices exceptionnels. Nous soupçonnons la direction de ne débuter la négociation qu’en mai ou juin pour nous proposer des mesures inacceptables, ce qui conduirait à faire échouer les négociations.
- En refusant d’investir… investir dans l’immobilier (de plus en plus de bâtiments insalubres, voire dangereux comme à Cholet), dans nos ressources matérielles pour remplacer des équipements vieillissant, et surtout recruter de manière significative et investir dans la formation. Et lorsqu’elle investit dans de nouveaux bâtiments (projet CONNECT), elle ne prévoit pas un bureau par salarié de manière à réduire le cout de ses investissements.
- En n’apportant pas les moyens suffisants pour un fonctionnement normal des services de santé au travail
- En laissant s’amplifier la charge mentale de nombreux salariés et se multiplier les RPS :
- Les ressources humaines sont insuffisantes, les plans d’embauche sont trop tardifs, les experts sont remplacés trop tardivement.
- La pression pour atteindre les objectifs de rentabilité et de production fixés, impacte de plus en plus la santé des salariés : aspect confirmé par les rapports des services de santé du Groupe ainsi que par le rapport de Malakoff Humanis.
- Déni de la direction vis-à-vis de l’augmentation des frais de santé : refus de renégocier l’accord complémentaire santé et de revoir l’équilibre employeur-salarié. L’augmentation des frais de santé a un gros impact sur le pouvoir d’achat des salariés.
- En refusant de réévaluer le calcul de la prime d’ancienneté fixée au niveau du minimum conventionnel.
Mais financiariser à outrance le Groupe
La politique actuelle de Thales pourrait se résumer ainsi : « Pour les actionnaires, on n’en fait jamais assez mais pour les salariés c’est toujours trop ! »
On nous explique : « Vous comprenez, les entreprises du CAC 40 ont certaines obligations envers les investisseurs et les marchés. Nous avons besoin de respecter ces engagements afin de pouvoir continuer à emprunter et à croître !! » ou encore « Attention, il nous faut tout faire pour éviter un profit warning, qui pourrait couler le Groupe ». Mais entrer au CAC 40 signifie-t-il pour une entreprise d’abandonner l’objectif d’être socialement « vertueuse » ? Quid des obligations et responsabilités envers les salariés ? des investissements dans une réelle politique industrielle à l’échelle du Groupe ? Pourtant on pourrait faire beaucoup en réorientant le budget des LTI, réservé aujourd’hui à quelques grands dirigeants. Ou encore en réinvestissant dans l’entreprise et ses salariés.
Mais non, le côté obscur des marchés est plus fort et concentre tous les efforts de nos (trop) chers dirigeants.
Vous comprenez mieux maintenant pourquoi il fallait un grand plan « cash 2024 » ? Pourquoi « relancer la priorité sur le cash cette année » ? Tout simplement pour servir l’avidité sans fin de la finance…
Rien pour les salariés : Alors rien pour les actionnaires !!
Les organisations syndicales demandent un meilleur partage de la valeur produite par les salariés, qui passe par :
- Plus de moyens pour la négociation d’accords socialement ambitieux et innovants
- Une politique salariale plus juste et équitable
- Un intéressement et une participation non plafonnés et permettant une réelle rétribution de l’investissement des salariés (Thales en bas du baromètre ERES des entreprises du SBF120 délivrant un intéressement)
- Des investissements en R&D, dans la formation, dans l’outil de production aujourd’hui vieillissant, afin de rester compétitif et innover
- Une amélioration de la QVT au travers d’espaces de travail et de mobiliers suffisants et fonctionnels
- Un plan d’actions et de lutte contre les RPS au niveau du Groupe
- Des moyens suffisants permettant aux services de santé au travail d’exercer toutes leurs missions dans de bonnes conditions
- Une politique RSE réelle et ambitieuse au travers d’un accord
Si vous êtes d’accord avec nous, manifestez-vous, contactez-nous pour organiser ensemble les actions nécessaires afin de faire changer d’orientation la direction de notre Groupe.
Si vous êtes vous-même actionnaire de Thales, vous pouvez envoyer par écrit vos questions pour cette assemblée générale, afin que la direction y réponde, elle aussi, par écrit. Nous pouvons vous aider pour cela.
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
8 raisons d'agir: Pour une égalité professionnelle dans le respect des principes fondamentaux inscrits dans la loi: "Egalité, parité, mixité, non-discrimination". Lire l’article.
Les propositions CFE-CGC: Parce que l’égalité professionnelle femmes-hommes est une grande cause au long cours, la CFE-CGC fait valoir ses revendications en matière de rémunération, de carrières, d’articulation des temps de vie et de lutte contre les propositions les violences sexistes au travail. Lire l’article.
Faire exploser les plafonds de verre: Rémunération, carrières, révision de l’index en entreprise… Dans une tribune, Christelle TOILLON, déléguée nationale CFE-CGC, liste les actions prioritaires pour améliorer l’égalité professionnelle femmes-hommes. Lire l’article.
19,1 % de femmes chez TSN.
Répartition par Catégories Socio-Professionnelles :
- 7,05% chez les administratives,
- 1,36% chez les techniciennes,
- 91,56% chez les Ingénieures et Cadres.
Chez TSN, l’accord triennal 2020-2021-2022 Egalité Professionnelle entre les hommes et les femmes a été prorogé de 3 mois, le nouvel accord est en cours de négociation et devra être signé avant le 31/03/2024.
Contactez-nous par mail ou sur Citadel !
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
En 2006, le CFE-CGC a proposé et fait traduire dans un accord un dispositif PERCO (Plan d’Épargne Retraite Collectif). Il présentait deux avantages :
- Une fiscalité allégée sur la sortie en capital ou rente
- L’abondement des versements (cf. tableau ci-dessous)
Le PERCO n’est pas obligatoire, les versements sont libres et permettent à chacun de se constituer un capital retraite qui viendra compléter les dispositifs collectifs obligatoires dont les pensions risquent malheureusement de diminuer.
Cet accord a été ensuite refondu en 2021 pour tenir compte de la loi PACTE et profiter des avantages qu’elle proposait, en particulier fiscaux. L’accord de 2021, qui transforme le PERCO en PERECO (Plan d'Épargne Retraite d'Entreprise Collectif), a néanmoins repris les grandes lignes de l’accord de 2006.
Pour 2024, vous trouverez ci-dessous le tableau des abondements et les versements permettant de les optimiser.
Ancienneté Thales |
Taux d'abondement |
Montant maximum d'abondement |
Versement optimal |
> 3 mois et < 5 ans |
50% |
338 € |
676 € |
entre 5 et < 10 ans |
50% |
406 € |
812 € |
entre 10 et < 15 ans |
50% |
602 € |
1 204 € |
entre 15 et < 20 ans |
50% |
733 € |
1 466 € |
entre 20 et < 25 ans |
50% |
864 € |
1 728 € |
entre 25 et < 30 ans |
50% |
995 € |
1 980 € |
entre 30 et < 35 ans |
50% |
1126 € |
2 252 € |
entre 35 et < 40 ans |
100% |
1 455 € |
1 455 € |
plus de 40 ans |
150% |
1 978 € |
1 319 € |
Vous pouvez verser sur le PERECO tout ou partie de l’intéressement et de la participation et compléter par des versements libres, jusqu’à la fin de l’année fiscale. L’abondement est progressif en fonction de l’ancienneté.
Par ailleurs, la CFE-CGC a fait introduire en 2011 une autre disposition : tout salarié qui manifeste son intention de liquider sa retraite dans les 24 mois à venir peut bénéficier, pour chacune des deux années civiles précédant son départ, d’un abondement exceptionnel de 150% dans la limite de 3081 € par an. Ainsi, en versant 2054 € par an, le salarié perçoit un abondement total de 6162 €. Le versement du salarié peut en outre être fait par avance sur l’indemnité de départ à la retraite (IDR).
Il peut arriver qu’on change de tranches en cours d’année et il faut savoir que le plafond monte dans ce cas à la fin du mois anniversaire de l’embauche. On peut alors ensuite compléter le versement pour optimiser l’abondement.
Vous avez des questions complémentaires ?
Contactez-nous par mail ou sur Citadel !
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
Bonjour,
L’équipe CFE-CGC Thales Services Numériques vous présente le baromètre des négociations pour le mois de février 2024.
Ce baromètre vous donne les tendances des négociations en cours au niveau du Groupe Thales et chez Thales Services Numériques.
N'hésitez pas à revenir vers nous si vous avez des questions concernant les négociations en cours.
Baromètre des Négociations Février 2024 |
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Groupe THALES |
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Accords Groupe en Négociation |
La tendance du baromètre CFE-CGC |
Nos commentaires |
QVT | Fin de l'accord le 19 avril 2023 Rien en prévision pour l’instant ! |
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Télétravail | Réunion de bilan de l'accord actuel (27/11/2023). Rien n'a évolué depuis mais cela reste un sujet essentiel aux yeux de la Direction ! Nous mettons un groupe de travail au niveau de l'intercentres CFE-CGC : envoyez-nous vos remarques ! |
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Handicap | Première réunion de négocation le vendredi 26/01/2024. Seul un axe a pu être abordé : le recrutement. Prochaine réunion de négociation le 27/02/2024 : les thèmes abordés seront : maintien dans l’emploi des personnes en situation de handicap et actions en terme de sous-traitance. |
Thales Services Numériques | ||
Accords Thales Services Numériques en Négociation |
La tendance du baromètre CFE-CGC |
Nos commentaires |
NAO |
Les NAO 2024 sont terminées pour la Direction. Pour plus d'infos, nous avons publié notre position au sujet de ces NAO 2024 :
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Egalité Professionnelle |
2 réunions de négocation ont eu lieu (18/10 et 21/11/2023) pour faire le bilan de l'accord actuel et présenter nos revendications. Réunion de négociation le 10/01/2024 pour une lecture d'une partie du projet d'accord. |
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Mobilité Durable |
Sujet qui traine depuis très/trop longtemps. Dernière réunion de négociation le 18/10/2023 où nous avons remonté tous les problèmes de l'accord proposé par la Direction. Nous avons reçu un projet d'accord au mois de Décembre mais pas de date de prochaine Négociation. |
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IDS | Le sujet traine ! Une première réunion avait eu lieu en juin 2022. Reprise via une réunion de bilan des dispositifs actuels d'IDS le 25/10/2023. Un projet d'accord nous a été transmis mi décembre et une réunion de négociation a eu lieu le 9/01/2024. Nous avons exposé l'ensemble de nos revendications, mais dans l'état cet accord n'est pas satisfaisant, c'est bloquant pour l'instant. Nous avons lancé un sondage début janvier auquel vous avez massivement répondu : MERCI ! Nous défendrons vos intérêts lors de la prochaine réunion le 15/02/2024. |
Vos élus CFE-CGC Thales Services Numériques.
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
La Direction a mis fin à la NAO Salaire lors de la dernière réunion de négociation du 09/01/2024. A l’issue, une communication sur les propositions finales vous a été transmise par flash RH Direction.
Une Intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC a interpelé M. CAPPILATI (Directeur Général) par courrier le 10/01/2024 parce que la Direction n'a pas répondu à nos demandes de reconnaitre le travail de l’ensemble des salariés, ni de prendre en compte l’inflation. Les salariés ont été informés sur cette communication.
M. CAPPILATI nous a répondu le 15/01/2024 par courrier en rappelant en partie la position de la Direction.
Sous couvert de l’Intersyndicale en cours, une communication a été réalisée le 16/01/2024 à Vélizy en réaction à la réponse de M. CAPPILATI. Le logo de notre Organisation Syndicale a été utilisé sans notre accord et sans validation du contenu, certains propos tenus ne portant pas les valeurs de la CFE-CGC.
Une communication Intersyndicale a été faite à l’ensemble des plus de 4700 salariés de TSN le 24/01/2024 pour les informer sur l’avancement des NAO. Une AG via Teams a été organisée le 30/01/2024. À cette AG, environ 160 salariés (dont une bonne partie d’élus) étaient connectés. Suite à cette AG, nous avons décidé de sortir de l’Intersyndicale pour les raisons suivantes :
- Trois réunions de négociation n’ont pas permis de trouver un accord avec la Direction,
- Il nous semble compliqué d’entrer dans un mouvement social si les salariés approuvent la politique salariale de la Direction (très peu de salariés nous ont communiqué leur mécontentement),
- Nous sommes en désaccord avec certaines revendications portées par d’autres organisations syndicales, nous continuons à revendiquer une meilleure répartition des valeurs par la reconnaissance du travail de chaque salarié.
La CFE-CGC ne signera pas le PV de désaccord sur la politique salariale 2024 pour manifester son désaccord avec la Direction.
L’application de la politique salariale est prévue début avril sur la paie de mars (avec rétroactivité au 1er janvier 2024), les mécontents se feront connaitre…
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
La NCCM est entrée en application le 1er janvier 2024, mais vous êtes près de 400 salariés à avoir demandé des explications à vos RRH & Manager au sujet de la fiche de description d’emploi (FDE) qui vous a été remise.
Selon l’accord Groupe relatif au déploiement de la NCCM, votre RRH vous a fait un retour écrit avant les congés de fin d'année. (Si vous n’avez pas eu de retour sous un mois de la part de votre RRH, contactez-nous !).
Dans le cas où la réponse de votre RRH ne vous satisfait pas, vous pouvez (devez) saisir individuellement la CAEF (Commission Anticipation Emploi Formation).
Nous vous proposons ce courrier type de réponse à envoyer aux membres de la CAEF, à votre manager et à votre RRH (en joignant en PJ les échanges que vous avez eu avec votre RRH & Manager) :
Bonjour,
Je prends note du retour qui m’a été adressé par <ma/mon> RRH concernant ma fiche emploi et ma nouvelle classification et famille d’emploi dans le cadre de la NCCM.
Je demande à ce que ma situation personnelle soit évaluée en CAEF comme cela est stipulé dans l’accord de déploiement de la NCCM suite au refus reçu concernant ma demande de révision de fiche emploi.
Je reste à votre disposition pour toute information complémentaire.
Dans l’attente de vos nouvelles,
Cordialement,
<Nom Prénom>
Les membres de la CAEF : (nos élus CFE-CGC en gras : n’hésitez pas à les contacter pour toute question éventuelle)
- BONNET Arnaud
- HAMADACHE Zahoua
- CRUCHON Magalie
- MENARD Virginie
- MERIODEAU Stephane
- SOULAMA Ismael
- MARSOLLIER Arnaud
- CARRIERE Guillaume
- COMPOINT Gerald
- PERALDO Claudine
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
À toutes et à tous, la CFE-CGC Thales Services Numériques vous souhaite une très belle année 2024.
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques
Toute l'équipe de la CFE-CGC Thales Services Numériques vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année 2023 !
Rendez-vous en 2024 pour poursuivre l'aventure CFE-CGC ensemble !
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- Écrit par : CFE-CGC - TSN - Thales Services Numériques